L’étude, visant à documenter et analyser les conséquences psychologiques de la pandémie, démontre que 44 % des participants ont admis avoir une « moins bonne santé mentale » depuis l’arrivée de la COVID-19 au Québec. Elle révèle que ce sont les 18 et 25 ans qui ont été les plus sévèrement affectés psychologiquement par la crise sanitaire. Leur niveau de stress aurait augmenté avec le temps, tandis que celui des autres groupes est resté stable. Pour les étudiants à l’université, 54 % se sont montrés « très ou extrêmement préoccupés » par leur réussite scolaire. L’étude révèle également que la pandémie a placé les familles avec de jeunes enfants et les personnes vivant seules en situation de « vulnérabilité ». La chercheuse principale prévient que le milieu de la santé n’est pas prêt à recevoir soudainement cette clientèle, dont l’état pourrait se transformer en trouble de santé mentale. Elle rappelle que ce sont des gens qui ne consomment présentement pas de services de santé.
Une recherche prévient que la pandémie aura des effets néfastes à plus long terme sur la santé mentale des jeunes
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May 04, 2021